Ce texte très speculatif réalise une série d’hypothèses autour de l'idée de libre arbitre, des contextes de réalisation et de perception de l'environnement.
Pour illustrer cela, il rapporte une compilation d'expériences réalisées en 1994/95 sur les états modifiés de conscience, et des possibilités que cela peut procurer.
De l’utilisation du libre arbitre, l’une des meilleures illustrations que je pourrais donner serait celle du programmeur qui, devant sa machine, va s’identifier à un processus de son propre programme qu’il regarde s’exécuter. En temps réel, il modifie la valeur d’un « pointeur d’exécution » de son processus.
Cette action peut-être considérée du point de vue du programme comme « impossible » à réaliser : il lui a fait emprunter un chemin d’exécution imprédictible, mais à l’inverse, du point de vue du programmeur cela est tout à fait envisageable, donc « possible ». Pour appréhender la réalisation d’une telle action, il est donc nécessaire de se placer dans un cadre particulier : celui du programmeur qui « dirige ».
Nous pouvons dire que le programmeur s’est octroyé, en tant que processus, une certaine « liberté » par rapport au programme que j'aimerais associer à cette idée de libre arbitre.
Ce petit exemple nous montre que nous ne sommes toujours libre que par rapport à un certain point de vue. En fixant un référentiel de base (un contexte privilégié) à l’action, nous pouvons préciser dans quelle mesure une action est « libre », ce qui reste par ce choix d’observation est très subjectif :
Supposons que l’homme soit soumis à deux sources d’influences distinctes :
Supposons enfin que depuis cette dimension d’espace, l’homme ait une capacité de préemption sur le monde physique/connu.
Pour nous représenter les degrés de liberté accessibles dans le cadre de ces hypothèses, nous pouvons imaginer la situation suivante : nous sommes à bord d’une barque dépourvue de rames et emportée par une rivière à fort courant ; (l’environnement est une image des lois physiques, et le courant de l’écoulement du temps). Compte tenu de la situation nous serions incapables de changer substantiellement notre trajectoire, et totalement dépendants de notre milieu, c'est-à-dire que nous évoluerions dans un mode purement « réactif ».
Imaginons maintenant, que nous soyons muni d’une petite console de jeu nous permettant d’actionner des moteurs sous-marins, nous permettant de virer, d’avancer de façon conséquente, et d’obtenir une vue aérienne de notre rivière: nous nous retrouverions ainsi munis d’une capacité « supérieure ».
Nommons cette capacité « libre arbitre » : immédiatement, nous observons que ce libre arbitre possède lui-même des limites spécifiques: nous restons soumis au courant, à la puissance des moteurs, aux informations accessibles via la console, et toujours –très prosaïquement–aux bords de la rivière.
Dans le cadre de cette hypothèse, nous observons que nous ne sommes jamais totalement libre: d’une part le libre arbitre coexiste avec le contexte opérationnel dans lequel il s’exerce, d’autre part lesdites actions « libres » possèdent leurs propres lois et contraintes:
Mettre en lumière l’existence d’autres référentiels permettant la détermination et la compréhension des actions menées montre qu’il est impossible de comprendre des rationalités qui s’exercent localement sans avoir réalisé l’importance et le rôle qu’occupent les contextes sous-jacents.
La science avance, et doit en même temps réaliser des hypothèses sur les « possibles » qui se cachent derrière ses zones d’ombre, et ce sans à-priori. Sans quoi, elle verrouille ses possibilités d’évolution. Comment faire place à l’inconnu dans la réflexion scientifique autrement ?
Si nous poursuivons sur la base de notre hypothèse, et considérons non pas un unique plan de réalisation pour l'homme, mais au moins deux : l'univers physique « connu », et celui duquel s'exprime notre libre arbitre. Nous est-il alors possible de « prédire » le futur de notre évolution ?
Le schéma ci-après illustre l’exemple de la barque engagée sur la rivière, et les modes de prédictions que nous pourrions réaliser sur sa trajectoire:
La rivière de la vie est pleine de rapides et nous avons besoin de toute notre énergie créatrice pour pouvoir trouver notre voie à travers les écueils
(A) dans le premier cas, il s’agit de déterminer le futur en extrapolant par paaréciation mentale l’évolution des paramètres physiques dont l’on dispose. Hormis le fait qu’il parait utopique de dénombrer de façon exhaustive l’ensemble des paramètres entrant en jeu, il semble subsister deux écueils – à priori – infranchissables :
(B) Déterminer autrement le futur : dans cette deuxième hypothèse, il s’agit d’essayer d’établir une vision "absolue" du futur, au sens ou elle doit être suffisamment abstraite pour contenir l'espace des solutions envisageables. Cela implique une vision purement symbolique construite à partir d’objets aux significations réinterprétables dans des contextes multiples: il n'existe plus une unique possibilité de réalisation. Dans certains cas, cette vision symbolique peut se faire plus pragmatique, par exemple, lorsque le futur est verrouillé sur certains « points de passage ». C'est-à-dire que nous considérons le phénomène d’évolution comme un phénomène complexe non linéaire, qui malgré tout peut être soumis à certains attracteurs.
De façon imagée, un voyant qui tentera de faire une projection "brute" de ce que sera l'univers dans 20 ans, obtiendra des prédictions exprimées sous forme de symboles plus ou moins abstraits.
Or, si les voyants pouvaient accéder à un niveau de réalité dégagé de notre strict cadre spatio-temporel, nous pouvons supposer que leurs visions présenteraient un certain nombre de biais / pièges cognitifs ; le métier serait rentable, et cela se saurait !
Dans le cadre précédemment évoqué, nous pouvons considérer le libre arbitre comme un moyen d’échapper au déterminisme des lois physiques, mais toujours dans le respect d’autres lois de nature exo.
Dans le cadre de cette hypothèse, il devrait donc exister des « portes » par lesquelles « l’inform-action » transite. Des portes, qui pour certaines permettraient au libre arbitre de s’exprimer et d’interagir avec le monde physique.
Nous pouvons généraliser sur ce qui vient d’être vu en donnant une autre image : nous sommes dans des bulles d'informations plus ou moins fortement maillées, et qui s'agglomèrent en grumeaux. Il existe entre chacune des bulles des ponts qui sont des passages étroits et difficiles à franchir. Ces ponts ne laissent passer que peu d'informations, et pourtant ils permettent à des univers de connaissance distincts de communiquer, d’échanger.
Nous appartenons préférentiellement à un sous-ensemble d’univers-bulles. Mais, ne serait-ce que par des lois, et au moins des concepts logiques, nous sommes liés à Tout ce qui peut-être représenté.
Nous avons proposé de considérer le « libre arbitre » comme une capacité à projeter de l'information issue d'un autre référentiel dans le référentiel physique connu. C’est une capacité de communication qui peut se formuler en termes de « bande passante » disponible, mais aussi en termes de « qualité » d’information ré-utilisable. L’information transitant est de qualité variable. Nous pouvons supposer que certains « choix libres » nous seront explicitement accessibles à certains instants par une mise en condition physique particulière. De plus, en maîtrisant les paradigmes afférents aux différentes lois des systèmes considérés, (la façon dont vous utilisez votre libre arbitre), il doit être possible d’accéder à des espaces de connaissances plus étendus, à priori inaccessibles. Je ne parle même pas ici d’un « progrès » qui évoque une continuité dans un temps qui n’existe pas forcément, mais simplement en respectant certaines règles, en augmentant la capacité néguentropique de l’homme, il doit être possible de nous « mouvoir » plus aisément.
Ce que nous choisissons de nommer librement « lois morales » sont des lois qui s’appliquent spécifiquement au libre arbitre. Soulignons immédiatement que ces lois n’ont aucun lien direct avec des concepts moraux tels que le « bien » ou le « mal », ces dernières sont des notions totalement subjectives : ce qui est « bien » pour telle personne, sera « mal » pour telle autre, etc. Les lois morales, touchent à des approches très larges et réellement universelles qui -potentiellement- encadrent n’importe quel cas, et sans subjectivité; Avec des notions sous-jacente d’entropie et de néguentropie, les lois morales s’appliquent sans « états d’âme » ni « pseudo-morale » humaine : il s’agit de lois au même sens que les lois physiques, régies par leur propres contraintes et logique.
Nous supposé que le « libre arbitre » était l’expression d’une communication issue d’un environnement distant : il suivrait des lois propres au réseau dont il serait l’émanation. Ainsi, en tant qu’être humain, nous aurions la capacité d’agir sur deux systèmes à la fois et de participer à l’échange d’information entre eux.
Sur la base de cette hypothèse :
Nous éprouvons les capacités de résistance de ces systèmes, sachant que nos actions peuvent entraîner de graves déséquilibres hors des contextes dont elles sont originaires.
Ces systèmes doivent donc être suffisamment résilients et les fondations de leur structure interne faire preuve d’une certaine homéostasie. Cela s’exprime au travers d’une « lutte » entre les courants entropiques et néguentropiques, ou l’entropie nivelle et disperse toutes formes de paradoxes pouvant émerger ; et les courants néguentropiques –au contraire– sont l’expression de communications s’établissant entre des « niveaux » d’échelle différents, variés et attenants.
Ce qui peut donc nous déranger dans ce genre de réflexion, (et ce que certains ont déjà réalisé), c'est que nous sommes toujours libres que par rapport à un ensemble de contextes donnés, et que finalement nous ne faisons que repousser le problème du libre arbitre à plus tard. Dans « l’absolu », sommes nous réellement libres ?
Un des moyens que nous pouvons concevoir pour échapper à l'implacabilité d’un nouveau déterminisme, consisterait à imaginer une infinité de nouvelles portes à franchir, dans un Tout qui serait structuré tel une vision « fractale », c'est-à-dire par un emboîtement quasi-infini de « niveaux ». Il y aurait alors une quasi-infinité d’univers communiquant de part en part, et s’influençant faiblement, mais substantiellement, les uns les autres.
Alors que pourrions dire d'une influence qui nous parviendrait depuis N niveaux de distance ? Quelle interprétation en donnerions nous, sachant qu'elle nous échapperait quasi-totalement ?
Malheureusement, chez nous autres humains, la réponse ne semble pas traditionnellement rationnelle. Sur le plan psychologique nous restons trop souvent confronté à l’une ou l’autre attitude : soit négation du phénomène trop dérangeant, soit irrationalité.
Par manque de méthodes, en termes de prospective, de logiques multivaluées, ou de pratiques ethnométhodologiques, nous avons du mal à concevoir un « juste milieu » : c'est-à-dire accepter l’existence de composantes « indécidables » dans nos raisonnements.
Si le libre arbitre est lié à un certain espace, cela sous-tend que nous puissions nous appuyer sur lui pour dépasser les limites de notre action cognitive, arriver à explorer de nouvelles zones. Voire même, peut-être est-il possible de dépasser l’univers du libre arbitre lui-même, pour placer notre champ de réalisation sur d’autres niveaux.
Il est intéressant de remarquer le caractère ténu des informations qui transitent, et en même temps la forte influence qu’elles sont susceptibles d’exercer sur l’homme. Nous pouvons supposer que la connaissance et la maîtrise des « points de passages » sera certainement l’un des problèmes clés vers lequel vont converger les recherches futures.
Ainsi : par quels processus physiques y a-t-il expression du libre arbitre ? Plus généralement, quels sont les processus qui relient des univers entre eux et permettent à l’information de transiter ?
Appréhender ces points de passages, et les comprendre c’est ouvrir à chaque fois de nouveaux paradigmes, puisque cela permet d’explorer les univers sous-jacents.
Et si finalement, nous pensons que « tout » est information, de façon plus générale, c’est se poser des questions sur la théorie de l’émergence : maîtriser les modèles mathématiques qui théorisent les réseaux, la Théorie du Chaos et de la Complexité, associée à des logiques permettant de gérer l’indétermination/l’inconnu.
« Lois meta-physiques » ou comme elles appartiennent au domaine de la connaissance « lois morales » par apposition avec les « lois physiques ». Nous SUPPOSONS que les « lois morales » sont constitutives d’une réalité au même titre que la réalité PHYSIQUE. Simplement, les règles qui les régissent sont légèrement différentes. Dans le cadre du libre arbitre, nous supposons qu’elles se distinguent des lois physiques espace/temps, lui conférant sa nature « libre », et donc adimensionnelle.
Peut-on imaginer un voyage dans cet « alt-univers » ? Comment celui-ci pourrait être perçu, exploré et utilisé ?
Je vais vous donner une expérience vécue, (qu’il faut se garder de prendre comme un moyen de valider mon discours). Cela est plutôt anecdotique.
A l'époque, je cherchais des indices sur l’existence d’un “plan” a-dimensionnel; qui échapperait aux concepts espace-temps, (condition possible à l’existence une nature « libre » de l’homme, permettant de le dégager dans une certaine mesure des contraintes physico-biologiques). Par conséquent il s’agissait de projeter le sujet dans un espace mental aussi vide d’information que possible.
Il s’agissait donc de placer un « sujet » dans un état de décontraction très important, un état modifié de conscience quasi-hypnotique: par l’expérience, nous cherchions à minimaliser les influences liées au monde physique/connu, et éloigner le sujet de tout action cognitive ou physique perturbatrice.
Il a été possible d’obtenir sous hypnose douce / sophrologie l’effet recherché, (pour tout vous dire, en employant une méthode de retour dans les « vies antérieures » détournée de son usage !).
Concernant cette recherche, sur le plan des indications mentales, il n’y avait pas d’orientation précise : si ce n’est de demander au sujet de se placer dans un espace vide loin de tout repères cognitifs.
Je dé-structure et reconstruit le dialogue en fonction des points abordés (je ne notais pas systématiquement ce qui était dit) – voici quelques extraits de plusieurs séances. Les références à la symbolique sont fortes.
Je traverse un tunnel parallèle à notre monde physique. Les parois du tunnel sont immatérielles, en réalité elles sont dues au changement de monde. Le tunnel peut rentrer dans notre monde, dans un sens seulement mais pas dans l’autre : notre monde physique ne peut influencer l’autre côté.
Je me trouve maintenant dans un espace extrêmement noir, entourée d’un certain nombre d’esprits qui séjournent là tout comme moi. D’après ce que je peux observer, ils sont faits d’une sorte de fumée, mouvante, mais globalement confinée dans l’espace d’un parallélépipède. Certains y resteront plus longtemps que moi.
Je demandai au sujet de prendre le maximum de recul vis à vis de l’univers perçu, et d’atteindre ses limites afin de contempler « Tout » ce qui était possible, dans sa globalité. Le sujet a alors vu une pierre suspendue dans l’espace noir:
Celle-ci semblait taillée grossièrement dans ce qui ressemblait enfin de compte à une tablette sumérienne. Sur sa surface étaient gravés des symboles cunéiformes. Elle était également profondément fissurée.
Par ailleurs, il a été possible à plusieurs reprises de pénétrer (symboliquement, je vous rassure: personne n'a été blessé!) à l’intérieur de la "pierre" et observer plusieurs choses :
A propos des informations qu'elle contient, il en existe plusieurs types:
Lorsque le sujet conditionné décrit qu'il reçoit deux rayons (un vers l’intérieur, un vers l’extérieur), je lui demande ce que cela signifie :
* Cela signifie que j’ai l’autorisation de bouger. C’est important que je le fasse maintenant. “Je suis amené à le faire”. - C’est rare, il faut en profiter. […]
Il semble que plus l’on passe de temps dans la pierre plus l’on s’imprègne des connaissances qu’elle contient. Quand bien même ce ne sont pas celles que vous êtes venu chercher en son sein : cela vous « contamine » le sujet. La situation devient même relativement désagréable à terme: celle de devenir « minéral », émotion provoquée par la situation ; en général les individus ne pouvaient pas rester trop longtemps dans cette pierre.
Bien sûr, tout cela est à prendre avec les précautions de rigueur :
Mais plus encore, il faut rester très prudent sur l’interprétation que l’on pourrait faire. Très probablement, les explications à ces données sont essentiellement à rechercher sur le plan « psycho-sociologique ».
De ce qui a été proposé, les « lois morales », peuvent être perçues comme un cadre à l’expression du libre arbitre, elles sont les piliers d'un univers d'informations ; univers que nous pouvons imaginer soumis à des fondamentaux différents de ceux que nous connaissons, (par exemple des univers à constantes cosmologiques différentes). Dans ce contexte :
Comment devenir medium : aller au-delà de l’action cognitive, exercer le pouvoir de son libre arbitre, améliorer nos capacités de prescience, afin d’accéder à cet univers d’information de façon plus directe ?
Comment réaliser un exercice de « prescience » qui puisse nous renvoyer une information moins brouillée, plus accessible et exploitable ?
Nous pourrions tenter de nous conformer aux règles du jeu, lorsque celles-ci sont comprises.
1/ Essayer de respecter la capacité d’action libre et les potentialités d’évolution d’autrui. Veiller à ce que vos actions aient des conséquences entropiques limitées sur votre environnement. Ici, il ne s’agit pas de considérer que vous allez "bien" ou "mal" agir : encore une fois, ces notions ne s'entendent que par rapport à des référentiels particuliers. Nous sommes plutôt, dans ce dernier cas dans le cadre de logique multivaluées, contextuelles qui s’évaluent par rapport au plus « grand nombre » :
2/ Par rapport à (1) ce n’est pas tant la façon dont nous nous conduisons, que le fait que la structure interne du « soi » que nous développons puisse être en cohérence avec les lois morales : ce qui permet de laisser passer l’information recherchée et d’y accéder. Impossible ici d’adopter une attitude de circonstance/feinte.
3/ Les biais :
Etranges expériences sur les états modifiés de conscience qui rappellent dans leur déroulement très largement les expériences d'espionage psy. Les modalités d'exécution des expériences et surtout ses limites sont tout à fait similaires.
Cela semble une voie de recherche intéressante qui mériterait l'utilisation de protocoles sévères. Par ailleurs, les informations collectées proches de la symbolique personnelles, si elles sont interprétées sans sens critique tendent à générer une masse considérable d’irrationalités. Or, sans outils permettant de juguler cette irrationalité, l’homme se retrouve dans l'incapacité d’analyser l’information qu’il a produit.
Nous comprenons que beaucoup d’entre nous se renferment sur ce qu'ils semblent pouvoir tenir pour acquis : l’information « assénée » de façon répétée via les principaux courants de diffusion. En caricaturant, plus nous le « voyons à la télé » plus c’est « Vrai ». (des gens sans aucun intérêt se font des noms parce qu’ils sont passés à la télé).
Nous nous enfermons dans des univers mentaux dogmatiques. Difficile alors de déconstruire ses schémas, de remettre en cause la pensée « officielle », pour oser affronter des idées originales et isolées !
Ce court texte n’est qu’un ensemble d’hypothèses posées dans un cadre informel, (texte qu’il faudrait probablement réécrire pour lui faire perdre de sa « nocivité »). Je veux simplement dire : gardons la porte ouverte à la réflexion et restons attentif à toute nouvelle forme de pensée pouvant enrichir nos êtres.
Espions PSI Un ouvrage qui décrit des expériences censément menées dans le cadre de l'espionage extrasensoriel américain. Les méthodes décrites et leurs limites sont très proches des expériences décrites ici.